Le "fil ciné de Phil Siné", c'est la synthèse mensuelle des films que je vois au cinéma, en DVD, à la TV ou par le biais de tout autre moyen ou support... Il s'agit ainsi de dresser un bilan très
personnel et subjectif, un "vade mecum" récapitulatif et synthétique de ma "cinémathèque virtuelle", afin de pouvoir la parcourir d'un seul regard ! Les films y sont classés par niveau
d'appréciation, ce qui permet de repérer leur intérêt en un clin d'oeil. Un lien vers la chronique critique des films est fait lorsque celle-ci existe sur le blog et un avis succinct est parfois
proposé pour les autres films...
En mai 2010, Phil Siné a vu 27 films au total. 25 ont été vu au cinéma, parmi lesquels 22 films sortis en 2010 (surlignés en rouge). Parmi les 27 films, 8 sont français et 7 sont
américains.
8th Wonderland, de
Nicolas Alberny et Jean Mach (France, 2010)
Copie conforme,
d’Abbas Kiarostami (Italie, Iran, France, 2010)
L’autre monde, de Gilles Marchand
(France, 2010)
L’autre rive, de Giorgo
Ovashvili (France, Géorgie, 2010)
Le bal des vampires, de Roman Polanski
(Grande-Bretagne, Etats-Unis, 1967)
Devil Story : il était une fois le diable, de
Bernard Launois (France, 1985)
Jamais sans toi, d’Aluisio
Abranches (Brésil, 2010)
Life during wartime, de Todd
Solondz (Etats-Unis, 2010)
Mourir comme
un homme, de Joao Pedro Rodrigues (France-Portugal, 2010)
Policier, adjectif, de
Corneliu Porumboiu (Roumanie, 2010)
L’amour c’est mieux à deux, de Dominique Farrugia et Arnaud Lemort (France, 2010)
L’élite de Brooklyn, d’Antoine Fuqua (Etats-Unis, 2010)
> Un polar rudement bien ficelé qui suit l’itinéraire de trois flics dont le destin finira par les conduire au même endroit, lieu d’une terrible tragédie. Mise en
scène soignée, scénario efficace, interprétation nickel… et Ethan Hawke, toujours aussi magnifique !
Film Socialisme, de
Jean-Luc Godard (France, Suisse, 2010)
Godzilla vs Megalon, de Jun Fuguda (Japon, 1973)
Lola, de Brillante Mendoza
(Philippines, 2010)
Enter the Void, de Gaspar Noé (France,
2010)
Freddy : les
griffes de la nuit, de Samuel Bayer (Etats-Unis, 2010)
Imogène McCarthery, d’Alexandre Charlot et Franck Magnier (France, 2010)
> Un policier parodique plutôt affligeant et vieillot, consensuel et sans originalité, où les acteurs (Catherine Frot en tête) en font des caisses et où l’on
s’ennuie au moins autant qu’ils s’agitent en tout sens… en vain !
Pour revenir sur Imogène, il est certains qu'il faut aimer ce style de comédie. Bon moi j'adore Catherine Frot (et non Dominique Blanc ;-) et elle trouve ici un rôle tout à fait à sa mesure. Le
RépondreSupprimer12ème degré est de mise, et j'avoue que j'ai passé un excellent moment, court car le film ne dure qu'1 heure 22, ce qui est suffisant.
Et puis comble du bonheur, il y a un générique de début et de fin ;-)
Ah tu ne l'attendais plus ma défense d'Imogène, hein ? Tout ça pour dire que tu n'as rien compris à l'aspect burlesque du film, le personnage de Catherine Frot en fait des caisses, on ne
RépondreSupprimercroit pas du tout à cette secrétaire qui se transforme en espionne...On ne croit pas non plus à tous ces Ecossais qui parlent français...Mais c'est ça qui est drôle. Et je ne te parle pas de la
bande-son qui en rajoute un peu plus au loufoque des situations et aux décors intérieurs très soignés, mais ça tu n'as pas l'air d'y être sensible (même en général,je me trompe ?). Bref
c'est un film de divertissement sans prétention, comme tu les détestes, encore que quand c'est Besson qui les fait (cf Adèle blanc-sec) tu peux faire un effort, semble-t-il...
tu plaisantes pour les décors ? j'existe pour les décors ! je vais voir les films pour leurs décors !!! :)
RépondreSupprimerc'est vrai que tous les films que j'ai chrnoniqué de besson pour le moment ne sont pas totalement descendus... mais je n'ai pas encore parlé de ceux que j'ai détesté ! quant au cinéma de
divertissement, je peux adorer... mais seulement quand il y a quelque chose de nouveau, d'un peu surprenant ou vraiment amusant... là tout tombe un peu à plat, tellement c'est téléphoné, sans
surprise... tant de vaines agitations, moi, ça me laisse de marbre !